L’inversion des températures en présence de brouillard ou les poussières sahariennes favorisent la présence de particules fines dans l’air. Leur haute concentration peut aggraver les conséquences de la maladie COVID-19.
Débat entre Ella Mona Chevalley, étudiante et membre du collectif de la Grève du climat, Jacques Dubochet, prix Nobel de chimie et membre de l’association des Grands-parents pour le climat, et Dominique Fumeaux, responsable de la filière Tourisme à la HES-SO Valais-Wallis.
En 2020, la recherche ne s'est pas limitée au domaine du coronavirus. Rétrospective de quelques bonnes nouvelles du monde scientifique et médical. Où il est question de piqûres de moustiques, de nodules thyroïdiens, des yeux des mouches, du plus petit possum d'Australie, du lynx, d'un monde sans pollution, de phosphore et de la conjonction de Saturne et de Jupiter.
L’inversion des températures en présence de brouillard ou les poussières sahariennes favorisent la présence de particules fines dans l’air. Leur haute concentration peut aggraver les conséquences de la maladie COVID-19.
Débat entre Ella Mona Chevalley, étudiante et membre du collectif de la Grève du climat, Jacques Dubochet, prix Nobel de chimie et membre de l’association des Grands-parents pour le climat, et Dominique Fumeaux, responsable de la filière Tourisme à la HES-SO Valais-Wallis.
En 2020, la recherche ne s'est pas limitée au domaine du coronavirus. Rétrospective de quelques bonnes nouvelles du monde scientifique et médical. Où il est question de piqûres de moustiques, de nodules thyroïdiens, des yeux des mouches, du plus petit possum d'Australie, du lynx, d'un monde sans pollution, de phosphore et de la conjonction de Saturne et de Jupiter.
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